Il a demandé a la lune, si on voulait encore de lui ...

Apres une longue marche durante, le vent et la pluie controlait la meteo, ainsi que la temperature de la soirée particulierement fraiche. La temperature negative, montrait certains grainds de neige qui gelait sur les objet mettalliques. Sous un epais nuage de suif, le ciel etait sans nuage, danns vaste espace bleu, et sur le côte, une magnifique constellation appelée la lune. Belle et blanche, en forme ronde, etait particulierement grosse ce soir, qui aura probablement des consequence enorme tel que des inondation.C'est dans un monde aussi vaste, ou les ocnstellation,galaxies, etoiles et planetes, montrent a l'espece humaine a quel point elle est inferieur a ce qu'elle devrait etre, et qu'elle a beaucoup a faire pour envahir un espace aussi hostiles.
Sur un sentier, dans une foret ou les arbres a l'ecorce pourries,etaient noirs verdâtres, une couleur sombre partager par la verdure sur les côte d 'un petit chemin visible par du sable fin, un homme marchait, et veillait a son pas discret et puissant. Sans l'entendre, l'atmosphere tapait des simballes.L'appelle du combat eveillant ou troublait le sommeil du peu des animaux aux alentours, a l'aura puissante ainsi que bruyante. Et l'homme, au visage cachée sous un chapeau de paille, gardait la nuque basse, et avançait dans l'obscuriter.
Le froid eveillant les ardeurs, il sortit de sous son costume, une cigarettes fine, qu'il allumat, et aspirat profondement en la mettant dans sa bouche. Sans la retirer, un long traits de fumée jailli, qui en fit un leger brouillard sur toute la masse de son corps, qui reussissat a rechauffer de peu son corps.Apres etre sortit de l'obscuriter, il inspirat encore plus profondemment que le coups precedent,et l'expirat, recrachant la fumée de tout son long. Arrivant sur une plaines sous la pluie batante, il mit par terre le megot de sa cigarrette a terre, et jura a son coeur que si il était accepter a Kiri comme Juunin ou Anbu, alors plus jamais il ne fumera. Il fit quelques pas, et au bout d 'une dizaine de kilometres, la pluie ne cessait pas, et devenait de plus en plus puissante et abondante.En sortant, son estomat hurlait de douleur, montrant ainsi que la faim etait pressante, aux risques etranges et mauvais. Il allat dc sur la plaine, et cherchat les herbes. Le terrain completement vierge et noyées et sterile par la pluies, il retroussat chemin dans l'apaisse foret sombre. Il prit de lortille, et la mangeait goulument, en faisant attention a ne pas manger l'ecorce a la couleur troublante.Il avait pein a avaler,et des qu'il faisait un geste brusque ou une poignée trop forte, une demangaisaon arrivait aussi brusquement qu'instantanement pour lui donner de desagrable sensation de gratter.Difficilement, il se contentat du maigre repas, et se relevit. Apres quelques minutes de marches, il vit des champignon,s qui n'avait pas une forme tres innocente, et ne regretta pas de ne les avoir pas vut plus tot. En ressortant, la pluie battante et encore plus violence, et lui ne trouvit comme idée de simplement boire jusqu' a plus soifs. Il s' allongeat, la bouchet et le gosier ouvert, et laissit le liquide domber dans le menbre ouvert Il arrivit jusqu'a de grands murs hauts et puissant. Il relevit la tête, enlevit son chapeaux, et le mis au niveau de la poitrine ... Levant la tete, le torse droit, les jambes puissantes, il baissit la tete d'un geste aussi positif que courtois envers le vide de l'obscuritern en esperant, que dieu, esprit, ou même gardes puissent voire le geste polis de l' etre seul sur le kilometres a la ronde

Accepté

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