Sekiei [En cours ^^]

Citation :: Description physique, test RP et 2ème partie de l'histoire dans un post à part ! u_u

Nom: No Kesshô

Prénom: Sekiei

Âge: 16ans

Description Mental (3-4 lignes minmum): Olalala ! Qu'est-ce que les filles sont compliquées et lourdes avec leurs caprices !... Et Sekiei ne fait pas du tout exception à la règle. A la seule différence... qu'elle ne le montre pas. Elle râle vraiment très souvent, mais intérieurement, ne voulant pas trop se faire remarquer. Sekiei n'est pas du genr eà aimer se faire remarquer parce qu'elle a une grande gueule ; elle préfèrera passer ses nerfs sur quelque chose une fois seule plutôt que d'exploser en publique au risque d'accentuer ses problèmes et non les arranger ; de toute façon, qui lui chercherait des noises, à part les ivrognes en manque de câlins ? Loin d'être douce, cette kunoichi d'Oto se montre particulièrement acerbe et bien souvent, il ne lui en faut que très peu pour passer des paroles à l'acte. Et cela doit très probablement vous paraître contradictoire avec ce que j'ai dit plus haut... Notez bien que Sekiei n'est pas une personne très stable. Elle est victime de quelques troubles psychologiques dus à un évènement dans son passé qui la traumatisa pour le restant de ses jours, d'où sa présence à Oto. Il existe en fait deux "Sekiei"... une relativement calme mais qui bouillone à l'intérieur, et l'autre n'est autre que ce bouillonnement relâché. On dirait presque qu'elle est victime de double personnalité si toutefois elle n'avait pas parfaitement conscience de ses actes et paroles, bien qu'elle ne puisse pas toujours les maîtriser à sa guise.
De nature jalouse et possessive, Sekiei n'a qu'une véritable crainte qui puisse l'amener à haïr une personne jusqu'à la fin de ses jours ; celle de voir une personne qui lui est chère l'abandonner complètement pour aller en voir une autre. La trahison est quelque chose qu'elle ne tolère pas, et qu'elle ne tolèrera jamais, et encore moins pardonner... Le mot « Pardon » fait très peu parti de son langage et n'aime pas l'entendre de la bouche des autres non plus. Pour elle, ce mot signifie énormément ce chose, c'est l'extrême limite qu'il ne faut pas atteindre avant qu'elle ne se montre très désagréable. A lire tout ce qu'il y a marqué sur elle, on pourrait croire que cette fille tire toujours une tête de six pieds de long... et Dieu sait que ce n'est pas le cas, et un certain jeune homme pourrait en témoigner !
Sekiei passe d'un extrême à l'autre comme la mort peut prendre la vie. Son visage est on ne peut plus expressif et rares seront les fois où, dans son état « normal », elle semble n'avoir aucune expression en particulier. C'est pour cela qu'elle contient toujours en elle ; elle ne l'extériorise d'abord que via les expressions du visage, et si le vase déborde, elle se met à cracher tout ce qu'elle a sur le coeur et devient « l'autre ». En dehors de ça... si on prend le temps de bien observer Sekiei, on remarquera que c'est une personne passionnée par ce qu'elle fait, et que jamais elle n'agit inutilement. Elle se sent très proche de la nature et n'aime pas les grandes villes où tout est de pierre, de sable, de fer, mais jamais d'arbres et de plantes. Il se trouve d'ailleurs que, secrètement, Sekiei admire encore le Shodaime. Mais personne ne le sait. Elle a effectivement un fond vraiment gentil, et l'innoncence et la pureté pourraient l'habiter si toutefois elle n'avait pas un passé aussi flou et troublant. Car, malgré elle, Sekiei se sent sale, et elle tente de se laver en restant aux côtés des personnes qui ont besoin d'elle...
Sekiei est aussi quelqu'un de protecteur, fidèle et loyal. Quand elle tient à quelque chose, elle fait tout pour le préserver ! Sans compter que, lorsqu'elle donne sa parole, elle la tient et pourrait se dresser devant ses amis si elle doit le faire. C'est une femme d'honneur ! XD Mais elle n'est pas stupide, et si elle voit qu'on la trompe, elle se venge. Quand au respect, Sekiei ne respecte que ceux qui méritent d'être respectés. Je ne peux pas vous dire s'il s'agit d'une qualité ou d'un défaut, mais sachez que Sekiei ne se trompe que très rarement sur ce genre de chose. Elle possède un flair incroyable et est capable de détecter facilement les personnes qui sont peu fréquentables. Il se dégage d’elle une aura étrange, qui met cependant rapidement les gens en confiance. On se confie facilement à elle, ce qui peut parfois poser problème. Elle est comme une grande-sœur, même pour ses aînés. Dure et exigeante, tout en étant calme et compréhensive, de bons conseils. Aimable et souriante, elle sait se faire apprécier par les autres et s’adapte à tous les gens qu’elle croise. Il est assez facile pour elle de cerner la personnalité des gens et ce qu’ils valent réellement. Oh, bien sûr, elle n’y arrive pas toujours. Mais n’aimant pas perdre ou avoir tort, elle se débrouille pour avoir toujours raison. Têtue comme une mule, quand elle veut quelque chose, elle se débrouille pour l’avoir ; elle est extrêmement tenace !... Il est difficile de croire en ce qui va suivre, mais pourtant c’est la pure vérité ; Sekiei est seule, considère la solitude comme sa seule véritable amie, mais commence peu à peu par la haïr, malgré le fait qu'elle soit très sociable.

Village choisit: Otogâkure.

Histoire ( Au moins 10 lignes): (l'histoire est racontée du point de vue d'un jeune garçon Kôgen Shinkai, le meilleur ami de Sekiei, jusqu'aux onze ans de la jeune fille. Après, tout sera du point de vue de Sekiei)

« Kôgen… Il s’appellera Kôgen, source de lumière. Il est mon rayon de soleil… » disait la mère.
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Lorsque Kôgen rentra à l’académie des ninjas, son physique plu très rapidement aux petites filles de son âge. Il était un peu le Sasuke de Kiri, si vous voyez ce que je veux dire. A la seule différence que Kôgen n’était pas froid avec tout le monde ; il riait facilement, il plaisantait, il faisait des erreurs et même s’il passait son temps à fuir les filles, il ne les méprisait pas. C’était un jeune garçon plein de vie comme on en rencontre peu, un petit homme intelligent, courageux et travailleur. Car oui, même s’il avait quelques facilités, Kôgen avait un peu de mal avec tout ce qui était en rapport avec les leçons. Question pratique, il était le meilleur de l’académie, mais pour la théorie, il restait un peu plus en retrait. Son très fort caractère, hérité de sa mère, le poussait toujours à aller de l’avant, à faire d’innombrables efforts pour rester en tête. Et sa motivation semblait aussi motiver tous ses camarades, qui prenaient exemple sur lui petit à petit. Il était un garçon tout ce qu’il y a de plus banal, avec une passion pour tout ce qui avait un rapport avec l’eau. Les jours de pluie, Kôgen traînait dehors, la tête levée vers le ciel, ou bien il s’amusait à sauter dans toutes les flaques environnantes, avant de s’entraîner à faire des Mizu Bunshin. Tout se déroulait bien pour lui, jusqu’au jour où une petite fille croisa son chemin. Elle pleurait, ses yeux étaient rougis et elle avait le genou en sang. Âgé de dix ans, Kôgen sentit pour la première fois de toute sa vie une certaine attirance envers cette petite fille aux cheveux couleur de feu et au regard vert émeraude.
« Tu t’es fais mal ? » lui demanda-t-il.
« Ou… oui. Je suis tombée… et je… me suis perdue… »
Devant la mine triste de la gamine, Kôgen se sentit rougir et tourna la tête vers un petit tonneau qui semblait être devenu une merveille pleine de surprises à ses yeux. Puis, sans rien dire, il se retourna et se baissa.
« Monte sur mon dos ! » lui dit-il en se rendant compte qu'elle ne comprenait pas son geste.
La petite fille ne se fit pas prier. Elle lui indiqua alors le chemin, et pendant tout ce temps, ils parlèrent. Elle s’appelait Sekiei, et avait neuf ans. Elle était très mignonne et sûrement que Kôgen lui rendrait visite de temps en temps. Mais peut-être qu’elle se trouvait à l’académie, elle aussi ? Elle lui répondit que non, malheureusement, qu’elle était la seule de la famille à ne pas pouvoir y aller.
« Pourquoi ? » questionna Kôgen.
« Parce que je suis malade. D’après papa et maman, j’ai le cœur tout faible. »
Celui de Kôgen sembla le devenir aussi à cet instant, où il entendit ces mots. Mais elle semblait être contente d’être avec lui, et cela réconforta le jeune homme qui se promit de passer tous les jours. Le lendemain, après être sortit de l’académie des ninjas, Kôgen se dirigea directement vers chez elle, avec un petit plat en guise de cadeau. Quand il sonna, ce fut une très belle jeune fille, qui devait avoir quatre ans de plus que lui, qui ouvrit. Elle le conduisit jusqu’au jardin où se trouvait Sekiei. Elle jouait avec un drôle de petit animal… Une sorte de chat orange, aux oreilles noires et touffues. Ils s'amusèrent ensembles, et se donnèrent à nouveau rendez-vous le lendemain. Les semaines passèrent, puis les mois, et les sentiments de Kôgen et Sekiei se transformèrent peu à peu en amour. Le jour de l’anniversaire de Kôgen, Sekiei était venue en tant qu’invité spéciale et avait été la plus choyée ; c’était ce qu’avait demandé Kôgen. Il voulait qu’elle se sente aimée. A la fin de l’anniversaire, où tout se déroula à merveille, Sekiei resta dormir avec lui. L’un contre l’autre, dans un grand lit, ils ronflèrent à en réveiller tout Kiri… jusqu’au moment où l’orage gronda. Un éclair illumina la pièce, ce qui fit sursauter Kôgen, qui se réveilla en grand fracas. Sekiei dormait toujours. Le jeune garçon, attiré par la foudre de dehors, s’avançait vers la fenêtre, fasciné. Pourquoi aimait-il tant la pluie ? En dehors du fait que ce soit l’Eau l’élément de son village, Kôgen avait toujours voué une attention particulière à toute cette eau qui tombait du ciel. Il s’avançait, prudemment, comme si quelque chose allait se produire. Et soudainement, il sentit des mains. Autour de sa taille. Tournant le visage, il pu voir Sekiei, blottie contre lui, un petit sourire sur les lèvres, réclamant un câlin. Câlin qu’il lui donna, bien évidemment ! Prenant son amie dans ses bras, il déposa un doux petit baiser sur son front ; du moins il voulut, car la demoiselle, décidée de passer à autre chose, s’était glissée sur la pointe des pieds pour réclamer un baiser d’amour. Surpris, choqué, et surtout perturbé, Kôgen n’osa pas bouger ; mais il ne se plaignit pas. Un baiser tout simple, rapide, et Sekiei repartit se coucher. Est-ce qu’elle dormait encore ? Est-ce qu’elle l’avait réellement fait volontairement ou bien était-elle somnambule ?
…
Elle était somnambule. Le lendemain, elle fit comme si rien ne s’était passé, alors que Kôgen ne parvenait pas à oublier. Il rougissait à chaque fois qu’il la regardait, sentant une étrange chaleur se former en bas de son ventre. C’était gênant ! Il se sentait sale d’avoir vécu une telle chose avec elle, alors qu’elle l’ignorait totalement. C’était comme s’il… l’avait violée. C’était ce qu’il pensait. Kôgen garda ce secret pour lui, jusqu’au jour où, par simple hasard, bien sûr, elle l’embrassa à nouveau. Mais cette fois-ci, elle était bien réveillée, et ça avait été devant l’académie toute entière.
Le véritable premier baiser de Kôgen. Un baiser d’amour, tout doux, mignon, qui fit sourire les parents avoisinants. Très rapidement, ils devinrent le couple préféré des l’académie et tous voulaient devenir leurs amis. Mais Sekiei et Kôgen étaient bien trop collés l’un à l’autre pour pouvoir laisser quelqu’un venir s’ajouter.
Malheureusement… vous connaissez les filles. Des jalouses, méchantes, sournoises, avaient attaqué Sekiei, un soir, alors qu’elle était partie acheter des légumes.
Seul dans sa chambre, en train de se reposer, Kôgen fut brusquement réveillé par l’orage. Encore. Sauf que là, il avait une boule à l’estomac. Un très mauvais pressentiment. Très, très mauvais. Sortant de sa chambre à toute berzingue, il alla dans les toilettes et vomit toutes ses tripes, sans en comprendre la raison. Pourquoi se sentait-il si mal ?... Après une heure de réflexion intense dans les toilettes, il se débarbouilla, sortit de la pièce, et repartit dans sa chambre. Mais il surprit une discussion de sa mère au téléphone qui le fit paniquer.
« Quoi ? Un arrêt cardiaque ? A l’hôpital ? Mais pourquoi ? Agressée tu dis ?! Comment vais-je le dire à Kôgen ?... Ce n’est pas grave au moins ? Elle va mieux ? Ah… ah bon… d’accord. Au revoir. »
CLAC. La porte avait été brutalement claquée par le vent, alors que Kôgen courrait, dehors, à vive allure. Il savait qui avait fait ça à Sekiei, il savait qui étaient les responsables. Trois filles qui le collaient à longueur de journées, bêtes et moches, se prenant pour des reines. Débarquant dans une petite ruelle, il fixa la porte de la maison juste en face. Elle allait voir, celle-là… en avertir une suffirait pour les avertir toutes les trois. Discrètement, Kôgen se glissa dans la demeure, se dirigeant vers la chambre de la fille. Pas dur à reconnaître ; elle était toute rose avec des cœurs et des photos de lui un peu partout. Immonde ; voilà ce que c’était.
« Ha ha ! Tu as vu sa tête ? La pauvre !... »
« Oui… Elle ne l’embêtera plus maintenant. »
« A nous de jouer, hein ?... hein ? »
Kôgen venait de faire subitement son apparition dans la pièce. Trempé jusqu’au os, en rage et surtout déterminé, il regarda les trois filles qui se tenaient devant lui avec haine. Elles prirent peur, car elles savaient la raison de sa présence. Toutes les trois avaient eu la mauvaise idée de rester ensemble après l’agression. Kôgen fit un pas ; les filles reculèrent ; puis il en fit deux ; elles se bousculèrent jusqu’au mur ; et il s’arrêta.

Le lendemain, les filles n’étaient plus à l’académie. C’était le jour de l’examen en plus, et Kôgen se montrait pout la toute première fois méchant, froid, et hautain envers tout le monde. Il passa l’examen sans aucun problème, si ce n’est qu’il fut convoqué par son professeur à la fin de la journée.
« Kôgen… Les trois élèves absentes, tu n’y es pas pour rien, je me trompe ? »
Aucune réponse de la part du Shinkai. Kôgen, les mains dans les poches, fixait l’extérieur avec dégoût. Ce changement si soudain, si radical, était on ne peut plus clair. Il était responsable des bleus et des coups portés sur ses camarades, mais il ne regrettait rien. Enfin, pas encore. Car quand il partit, et une fois à l’hôpital, il croisa l’une des filles dans la chambre de Sekiei.
« Excuse-nous Sekiei-chan, nous ne voulions pas te faire mal à ce point là, nous ignorions que tu avais des problèmes de cœur ! Nous voulions simplement te mettre en garde contre Kôgen, il est dangereux… regarde tous ces bleus, ces griffures ! Il ne sait pas se retenir si on le contredit. »
Menteuse. Menteuse. Menteuse. Sale menteuse. Et pourtant, Sekiei la cru. A peine la jeune fille partie, Kôgen se glissa dans la chambre et avant même de prononcer quoique ce soit, Sekiei le jeta dehors.
Plus jamais elle ne voulait le revoir. Et même si elle n’avait pas cru entièrement la fille, elle n’acceptait pas le fait que Kôgen puisse blesser autant les autres pour quelque chose dont ils ne sont pas forcément responsables. C’était quand même cette fille qui avait appelé l’hôpital de Kiri !

(Histoire non finie)

Nindô/Objectif Ninja: « Tant que l'on aura confiance en moi, je n'abandonnerai jamais. »

Affinité du Personnage : Doton

Paragraphe écrit: (10 lignes minimum pour évaluer votre niveau de Rp)

Comment avez vous connu le Forum? : Sasuke-kun =D

Hokage Nombre de messages : 65 Date d'inscription : 18/11/2007

Bienvenue sur YnS.

Avant que tu n'ailles plus loin je tenais juste à te prevenir que c'est 1, et une seule affinité au niveau Aspirant - Genin ^^, étant donné que les Jutsus de type médicale sont compté comme une "Affinité" il te faudras attendre de devenir Genin pour avoir plus d'une affinité.

Voilà le Schema :

Aspirant - Genin : 1 Affinité
Chuunin : 2 Affinités
Juunin et + : 3 Affinités^^

Donc je te demanderais d'edité cela ^^ en attendant ton poste.

Ah zut, je pensais pas commencer au niveau aspirant vu que Sasuke va me prendre comme « Assistante » ... x]

Voilà, édité ^^

Hokage Nombre de messages : 65 Date d'inscription : 18/11/2007

Sekiei No Kesshô a écrit:: Ah zut, je pensais pas commencer au niveau aspirant vu que Sasuke va me prendre comme « Assistante » ... x]

Voilà, édité ^^

De Aspirant à Chuunin ça monte très vite, donc inutile de se dire * Rhaa merde, j'aurais voulu être Juunin!*

o_Ô !... J'a rien dit x'] ...

Bref je pense terminer ma fiche demain. Je précise que ni le physique et ni le caractère ne sont terminés ^^ (et encore moins le reste puisqu'y'a rien xD)

Ici seront mis la description physique et la 2nd partie de l'histoire !

Description Physique (3-4 lignes minimum): A la voir... Sekiei fait très gamine. Elle possède un visage assez enfant, oui, et des traits fins, soulignant ainsi sa beauté naturelle. Effectivement, cette demoiselle est considérée comme très jolie par la plupart des hommes, de par sa longue chevelure flamboyante comme pour sa silhouette fin et élancée. En général, Sekiei se trouve dans la moyenne ; pour exactement un mètre soixante-cinq, elle fait quarante-neuf kilos. Certains trouveront ça léger, et pourtant, la jeune fille ne donne pas du tout l'impression d'être maigre ! Plutôt bien formée, elle possède des rondeurs là où il faut, bien qu'elle trouve sa poitrine un petit peu petite pour son âge -ce n'est pas l'avis de tout le monde, cependant. Costammen vêtue de couleurs chaudes et de tenues légères et pratique, elle n'éprouve, grâce à ça, aucune difficulté pour bouger et se glisser dans les endroits les plus minces où seule une petite personne pourrait se glisser. Un sourire joyeux illumine constamment son visage à la peau pâle, ce qui donne très souvent aux gens l'impression qu'elle est, quoiqu'il arrive, toujours de très bonne humeur. Malheureusement, il suffit de la voir nue pour deviner que ce n'est pas le cas ; sous sa poitrine, là où se trouve le coeur, une série de cicatrices existent, résultat d'une dizaine d'opérations qui furent toutes vouées à l'échec. De ce fait, jamais vous ne verrez la jeune fille dans une tenue qui serait susceptible de laisser entrevoir ces marques qui lui rappellent que sa vie ne tient qu'à un fil.

Histoire (suite):

Humph... Peut-être avait-elle fait une erreur en rejetant Kôgen ? Sekiei se le demanda pendant des semaines durant, son ancien ami ne lui donnant absolument aucun signe de vie. Une fois, la jeune fille à la chevelure de feu se présenta à la sortie des cours de l'académie, dans l'espoir d'avoir une discussion avec Kôgen. Mais quand il lui apparut, ce dernier commençait déjà à s'enfuir, ne souhaitant pas approcher la jeune fille. Celle-ci, encore trop faible, ne put le poursuivre et fut accueillie par une rangée de sourire narquois. Malgré les mots.
« Tu vois ! On te l'avait dit ! Maintenant qu'il sait que nous t'avons prévenue, il ne veut plus te voir. Il est lâche. »
Ces mots furent les derniers que Sekiei entendit de la bouche des trois filles de la fois d'avant, car la jeune malade fit à nouveau une crise et due être emportée d'urgence dans un hôpital, malheureusement, loin de chez elle. On lui arrangea quelque peu ses problèmes et ses parents voulurent déménager ici, a côté de l'hôpital, au cas où Sekiei rechuterait. A cause des évènements récents, la jeune fille n'avait pu prendre ses médicaments et avait fuit tout le monde, ne sachant plus où elle était, ce qu'elle était et pour elle elle existait. Pour souffrir ? Quelle vie ! Ouah ! A peine cette pensée eût-elle effleuré l'esprit de la rousse que cette dernière décida de se reprendre en main ; elle allait devenir forte. C'est alors qu'en se promenant un peu dans l'hôpital, elle assista à une scène très... spectaculaire.
« Poussez-vous ! Amenez-le dans le bloc trois, que les meilleurs chirurgiens disponbiles s'y rendent ! Urgence ! »
Une jeune fille, âgée de douze ans environ, pénétra dans l'hôpital, sur un lit, du sang coulant d'inombrable blessure. Trop choquée pour pouvoir détourner ses yeux de ce spectacle horrible, Sekiei ne bougea pas d'un pouce, et regarda le lit passer ; elle vit les yeux grands ouverts de la jeune fille qui fixaient le vide avec une indescriptible expression, mélangée à l'horreur, le dégoût, la peur, la haine, la détresse et le désespoir. Puis elle disparu derrière un mur, se trouvant dans le bloc qui lui était destiné. Destinée. Quelle était sa destinée ? Sentant son coeur se resserrer, Sekiei s'était avancé pour mieux voir, et une heure plus tard, la jeune fille mourrait. Son coeur l'avait lâchée. Il avait choisit de cesser de battre pour stopper les souffrances de l'être qu'il tenait en vie. Les larmes aux yeux, Sekiei resserra sa faible poigne sur son vêtement, là où se trouvait son coeur. Elle sentait une horrible douleur, là, pire que lorsqu'elle chutait. Elle ne voulait pas mourir. Elle avait peur de la mort. Elle ne voulait pas terminer comme cette jeune fille, là, allongée sur un lit, fixant le vide, sachant que les secondes lui étaient comptées.
Peu de temps après, Sekiei était entrée à l'académie des ninjas. Ceux qu'elle avait connus à l'époque étaient partis, et maintenant elle se retrouvait seule avec de parfaits inconnus. Tant mieux ! Passant son diplôme à la fin de l'année, Sekiei devint Genin à l'âge de onze ans et demi. Douée en ninjutsu mais médiocre en genjutsu et, logiquement, en taijutsu, elle avait souhaité devenir une Medic-Nin. La meilleure possible. S'inscrivant alors le plus vite possible pour des cours particuliers, Sekiei s'entraîna dur, très très dur, afin de pouvoir vite monter les échelons et trouver la puissance maximale qu'elle pouvait posséder.
Et c'est par le biais de son professeur particulier qu'elle apprit l'existence d'un Kabuto Yakushi et d'une Tsunade Koichi, les deux Médic-nin de ces dix dernières années. Tsunade Koichi, disparue à l'heure actuelle, ne pouvait pas aider Sekiei à atteindre son but. Alors peut-être... Ce Kabuto ? La suite des évènements à Konoha révéla qu'il était un shinobi d'Oto, à la solde d'Orochimaru. Très bien. A peine fut-elle mise au courant que Sekiei quitta son village, décidée à le rencontrer et à réclamer son enseignement. Ce n'était pas chose aisée, elle le savait, mais c'était lui, ou rien. Elle ne savait pas où se trouvait Oto mais Sekiei était patiente et maligne... par des constatations suivies de supposition, elle en était arrivée à la conclusion qu'Oto se trouvait non loin de Konoha, vers les frontières nord. Mais où exactement, elle ne le savait pas du tout ! Ignorant tout du village caché de la feuille et de ses habitants, elle préféra faire un détour et éviter ainsi de traverser le village, au risque de voir sa vie être écourtée plus qu'elle ne l'était déjà.
Après des mois de marches, de recherches, Sekiei tomba. Elle s'évanouie, un soir d'hiver. Elle allait avoir quatorze ans.
A son réveil, elle se trouvait à Oto. Là, son histoire de shinobi d'Oto commença, et se poursuit encore...

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Test RP (n'aimant pas créer de RP sur demande, je poste là quelque chose que j'ai rédigé y'a belle lurete, en plein milieu d'un topic. Ca évite de faire genre on peut faire tant de lignes dans un test alors qu'en RP normal on en fait même pas la moitié u_u...) :

*Himei ne rougissait pas, ne pleurait qu’en de très rares occasions… parfois on disait de lui qu’il était insensible, ce qui n’était pas le cas. Seulement il ne se laissait pas submerger par la tristesse ou la gêne. Il n’aimait pas de toute façon ces deux sentiments qui pouvaient être très révélateurs, disait-il. Tout comme il évitait de se laisser emporter par la joie ou le désir. Himei regardait à présent l’horizon, fixant le bout de mer qui se terminait soudainement par une ligne droite. Mais soudain, il sentit qu’on lui attrapait la main avec une douceur à laquelle il n’était pas habitué, et un frisson parcouru tout son bras. Fermant un bref instant les yeux, il regarda à nouveau par terre, sur le côté, se demandant pourquoi il réagissait de la sorte. Certes, il n’était pas habitué à ce que ce soit Junya qui le lui fasse, mais combien de femmes et de jeunes filles le lui avaient fait durant leurs moments de douceur ? Himei n’aimait peut-être pas spécialement le fait qu’il semble perdre ses moyens face à Junya, il ne voulait cependant pas blesser l’autre en retirant sa main, se doutant qu’il l’avait déjà bien fait lorsqu’il s’était relevé alors que l’autre l’enlaçait. Il s’était sûrement attendu à quelque chose d’autre de sa part, il avait dû attendre que Himei le prenne à son tour dans ses bras pour ensuite… Ah ! Himei, arrête de penser. Le jeune Kurushii reposa lentement son regard sur Ueno, profitant que ce dernier soit trop occupé avec sa main pour mieux l’observer. Ils étaient colocataires, mais Himei n’avait pas encore passé une seule nuit dans leur chambre, s’étant toujours enfui durant la soirée pour passer la nuit ailleurs –sûrement chez de la famille disait-on, ou bien avec sa maîtresse.*

*Junya était beau. Rien à dire de plus. Un visage doux, angélique, un regard qui lui apparaissait comme pur et innocent. Des cheveux mi-longs, doux, soyeux au toucher ; sûrement. Ses gestes étaient lents, parfaitement bien dirigés, et même si cette situation était quelque peu perturbante, Himei ne se mentait pas ; c’était finalement plutôt agréable, ces petites caresses que Junya lui faisait. Himei sentit alors son regard devenir triste ; pourquoi un être si doux était-il aussi triste ? Pourquoi un appel au secours venant de lui résonnait dans son esprit ? C’était la toute première fois qu’il ressentait ça ; un cri puissant, muet pourtant, faisait bourdonner ses oreilles. Les mots qui sortaient de la bouche de Junya laissèrent Himei silencieux pendant un petit moment, alors qu’il se demandait pourquoi et comment ils en étaient arrivés à cette proximité plutôt déroutante. Junya ne semblait pas trop y faire attention… que réclamait-il exactement ? De l’attention, de l’amour de la part de quelqu’un ? Mais… Himei n’avait pas l’habitude de donner ça ! Surtout si vite, et encore moins à un homme. Perdu dans ses propres pensées, il détourna le regard la fraction de seconde avant que Junya ne relève les yeux vers lui.*

*Alors comme ça… il se laissait faire. Comme si sa seule volonté était de souffrir le minimum. Raté, car selon Himei ce manque de volonté traduisait une souffrance qui allait en crescendo, et plutôt rapidement. Il avait besoin en quelque sorte d’un « coach », de quelqu’un qui saura le blâmer, le flatter, le guider et le laisser libre en même temps. Une sorte de « mère ». Est-ce qu’il avait eu des problèmes par rapport à sa famille pour être dans un tel état, ou bien avait-il seulement eu des ennuis avec les autres enfants ? Peut-être qu’aussi il fut toujours ainsi, sans que personne ne puisse vraiment savoir pourquoi... Tant de questions se bousculaient dans l’esprit de Himei ! Il ne savait plus trop quoi dire, et quoi faire. Ce Junya était plus compliqué qu’il ne le pensait, en fait… Râlant contre lui-même et ce foutu malaise, il se laissa à nouveau retomber par terre, brusquement, s’asseyant dans le sable comme un gamin boudeur le ferait. Les bras croisés sur son torse, les yeux posés sur sa chaussures, il resta silencieux un petit instant. Puis, il releva son regard vers Junya, et fixa longtemps ses yeux. Leurs yeux se rencontraient… enfin.*

« La différence, on l’a en chacun de nous. On est tous différents, Junya-san. »

*Le regard de son interlocuteur perturbait Himei. Encore. Mais pourquoi, nom de Dieu ?! Ne pouvait-il pas rester calme et serein, comme à son habitude ?! Pour une fois où il était fr bonne humeur et que cette nuit là rien n’allait se produire –normalement-, il fallait qu’il rencontre Junya et qu’une simple étreinte de sa part suffise à le mettre sens dessus dessous. C’était… rageant, de voir à quel point il ne pouvait se contrôler malgré ses efforts.*

« Ce n’est pas idiot d’être en colère. Cela permet d’évacuer toutes ces choses qui nous énervent, qui nous agacent, et c’est aussi le moyen de crier sa douleur. Plus qu’en pleurant. Pleurer en restant dans son coin n’arrange rien… mais crier sur les gens amène quelque fois à la réflexion, et ce, des deux côtés. Car même si la colère a la fâcheuse manie d’augmenter la gravité de chaque chose qui nous énerve, il y a toujours une part de vérité dans nos propos qui nous blesse aussi bien nous que celui sur qui on cri. Et quand le message passe, on réfléchit, on se remet en question. »

*Himei pensait avoir été clair. Restant à nouveau silencieux un petit moment, il détourna encore la tête pour regarder le phare, au loin, très loin, qui éclairait la mer, puis la plage, à nouveau la mer, et encore la plage.*

« Ca ne finit jamais rapidement. La douleur semble allonger le temps. Lorsqu’on est seul et que l’on attend la fin de quelque chose, on a beau savoir que celle-ci va venir, on a toujours le sentiment que ce que l’on vit c’est ‘trop long’. Si tu ne ripostes jamais, les gens s’en prendront toujours à toi parce qu’ils penseront que tu es faible. Ca fonctionne comme ça. On a beau dire et beau faire, c’est toujours la loi du plus fort qui revient. Nous, nous sommes de véritables animaux débiles. On rejette le naturel pour des choses qui ne nous conviennent pas spécialement… »

*Soupirant, Himei ferma les yeux tout en baissant la tête. Il se trouvait lui-même bizarre, parfois. Il avait son propre point de vue sur chaque chose, mais souvent il était en désaccord avec tout le monde. Chacun avait sa façon de penser, disait-on, mais tout le monde réfléchissait avec le même cerveau, alors les idées étaient les mêmes. Voilà ce que pensait aussi Himei. Il voyait des moutons, autour de lui, ou alors un gigantesque hydre à 6 milliard de têtes. Il reprit :*

« Plus je t’écoute et plus je me dis que tu cherches à apparaître parfait aux yeux des gens. Doux, gentil comme un agneau, naïf et… soumis. C’est l’impression que tu donnes ; pourquoi crois-tu qu’on s’en prend à toi ? Si tu donnes une image forte de ta personne, les gens te laisseront, ne viendront pas te chercher des ennuis. Ton regard, ton visage et ton comportement ne peuvent pas coller avec des mots durs ; ce qui veut dire que tu serais capable de te plier à n’importe quelle volonté du moment qu’on te laisse tranquille après. Junya-san… »

*Himei releva la tête, et son regard sur Junya par la même occasion.*

« Si tu penses que tu es ton seul ennemi, tu te trompes. Ta façon d’agir laisserait penser que tu es un esclave, qui se refuse la liberté simplement parce que cet univers lui est « inconnu » et qu’il ne juge pas nécessaire de le connaître, puisque c’est un esclave né. Ca te plait, d’être traité comme un chien ? Tu veux vivre comme ça toute ta vie ? Ta majorité passée et tes études finies, personne ne sera là pour te tendre la main ; il te faudra imposer toi-même tes idées si tu veux attirer l’attention de ton patron. Tu auras besoin de caractère, si tu veux vivre, besoin de hargne, de courage, de… couilles. Et puis, avoue-le, t’en a marre de rester en bas de l’échelle… »

*Himei avait eu un peu de mal à parler ; Junya le troublait réellement. Un être comme lui… non, Himei. Junya n’était pas gentil, dans le sens propre du terme. Il s’était trompé sur un point. Quelqu’un de gentil, c’est avant tout quelqu’un qui sait qu’il peut être méchant. Les contraires vont ensembles, l’un ne pas va sans l’autre sinon il perd tout son sens…*

Hokage Nombre de messages : 65 Date d'inscription : 18/11/2007

Ok pour moi tu es accepté , c'est Sasuke qui choisira ton grade^^

Salut et Bienvenue sur YnS.

Acceptée bien sûr, tu commenceras donc Chuunin lvl 10 (presque Jounin ouais) pour ton grade perso on verra plus tard... Wink

Bon RP!

Tout est décidé donc bienvenue Ana...heu Sekiei Wink

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