[La Venue de Sekiei] Flashback Troublant.

[Flashback]

|| Retour en arrière. La même année que l'arrivée du jeune Uchiha à Oto, mais quelques mois plus tard. Il fait nuit, froid, nous sommes en hiver. Il neige beaucoup, et le vent souffle à vous en décrocher la peau de votre chair. Une personne, seule, marche au hasard dans le pays du riz, enveloppée dans une épaisse couverture chaude. Cette personne pourrait pleurer si toutefois elle n'avait pas si froid et que ses larmes ne gelaient pas dès qu'elles daignaient de se montrer. La peau bleuie par le froid, cette personne avance avec beaucoup de difficulté et semble porter sur ses épaules le poids de tout son monde ; elle tente plusieurs fois de parler, de crier, en vain. Elle a trop froid, et se sait totalement seule. A bout de forces, la personne tente une dernière fois de crier et tend la main devant elle, tentant de se rattrapper à quelque chose qui semble vouloir l'accueillir ; mais avant même d'avoir pu toucher ce « quelque chose », elle tombe, et sombre dans un sommeil vide et long. ||

Sekiei se réveilla brutalement, se redressant soudainement, en sueur, la respiration haletante et le coeur tambourinant à lui en briser la cage thoracique. Mais ce réveil brutal ne fut que de courte durée car, prise de nausée, la jeune fille se laissa à nouveau couler dans ses draps, une main postée sur son front brûlant. Elle se sentait mal, souffrait horriblement et surtout, elle avait faim... et puis, où était-elle ? Rouvrant un oeil, la fille appelée Quartz (Sekiei = Quartz) regarda autour d'elle, totalement chamboulée. Elle ne reconnaissait pas sa chambre et surtout, elle se demandait comment est-ce qu'elle avait atterri dans ce lit qui n'était pas le sien. Tout était vague, très flou dans sa tête, et si l'envie de vomir était bien présente, la jeune fille ne pouvait se soulager. Elle n'avait rien à évacuer et devait garder cette douleur pour elle.

Après quelques minutes où elle tenta de reprendre ses esprits et calmer un peu la douleur, elle remarqua enfin qu'elle était pleine de bandages, et que ses jambes étaient, pour le moment, paralysées. Avec surpris, Sekiei releva sa couverture... enfin, sa triple couverture, plutôt ; elle découvrit avec stupéfaction un tas de blessures sur ses jambes, notamment de nombreuses morsures, et qu'au moindre mouvement qu'elle tentait d'effectuer, une douleur aigue lui traversait tout le corps, et ce fut dur pour elle de retenir un cri. Ne sachant pas du tout ce qui lui était arrivée, Sekiei se hissa vers le haut du lit, posant son dos contre le mur, et observa ensuite les alentours avec une extrême attention. Bizarre, c'était très bizarre. Il n'y avait pas une seule fenêtre, et sa chambre était entièrement vide, hormi la petite table de chevet où était posée... une lettre ? Pour elle ?

La jeune fille tendit le bras pour l'attraper, puis la ramena vers elle, avant de la retourner dans tous les sens pour y trouver le nom de la personne qui l'avait écrite. Bon, visiblement, rien à l'extérieur. Il ne lui restait plus qu'à ouvrir, alors ; ce qu'elle fit avant même d'y avoir pensé. Tirant la lettre hors de son enveloppe, la jeune kunoichi de Kiri fixa avec surprise le nom qui se trouvait tout en bas, avant même d'avoir lu le contenu. Shinobi d'Oto, à la solde d'Orochimaru, donc. Elle avait trouvé le bon endroit. C'était un coup de chance qu'elle ne se soit pas faite avoir par un Anbu de Kiri, cela lui aurait valu... une mort certaine. Nuke-nin. Voilà ce qu'elle était devenue, en l'espace de quelques secondes ; dès qu'elle eût franchit les portes de son village, Sekiei avait réalisé que plus jamais elle ne pourrait y remettre les pieds en tant qu'habitante. La raison de son départ ? Ah oui... l'incapacité aux Medic-nin de Kiri de la soigner, ou plutôt, leur refus. Et, par l'intermédiaire d'un pauvre secrétaire de son Kage, Sekiei avait eu vent d'un nouveau village caché, Oto, où se trouvait un certain Kabuto et le célèbre Orochimaru. N'ayant plus rien à perdre à part le vie, la demoiselle s'en était allée, à la recherche d'une personne qui puisse la sauver d'une mort lente et douloureuse.

Poussant un soupir, Sekiei ferma les yeux. Elle allait devoir s'expliquer à ceux qui l'avaient sauvée... et s'abstenir de tout commentaire concernant son sauvetage. Ils l'avaient sauvée, et elle se demandait pourquoi ; en même temps, tout le monde disait qu'Orochimaru faisait des expériences sur des êtres humains ! Serait-elle la prochaine sur la liste ? Se remémorant le marché qu'elle voulait conclure avec le Serpent, la Nuke-nin, rouvrit les yeux, fixant la lettre d'un air absent. Ses services, en échange d'un remède pour son faible coeur qui pouvait la lâcher à tout instant. Ses services... Ha ! comme si elle était assez spéciale pour que l'on daigne de s'intéresser à elle, pauvre Chuunin de Kiri ! Rageant contre son incapacité à prouver qu'elle était digne de rester à Oto, Sekiei serra les poings, froissant la lettre en même temps. D'ailleurs, cette dernière n'avait toujours pas été lue. Chose qu'entreprit de faire la fille aux cheveux de feu.

Ainsi donc, elle avait été attaqué par des sortes de loups, et c'était un ninja d'Oto qui l'avait retrouvée. Mais pourquoi l'avait-il ramenée au village, bon sang ?! Pourquoi n'était-elle pas morte ?... Ah ! Sekiei ouvrit de grands yeux, réalisant une chose. Ils pensaient qu'elle pouvait peut-être leur livrer des informations concernant Kiri ?!... Peut-être bien... malgré tout, Kiri restait son village, celui dans lequel elle avait grandit. Restait à voir ce que le Serpent lui demanderait, contre le remède qu'elle lui réclamait...

[Fin du Flashback]

(retour au présent)

Quels souvenirs étranges. A environ un kilomètre des portes d'Oto, une jeune fille marchait, un sac porté en bandoulière. Sekiei, visiblement fatiguée et pas de très bonne humeur, revenait d'une mission plutôt... embêtante, pour ne pas être grossière. Envoyée par un Medic-nin d'Oto plutôt faignant, elle avait dû s'arrêter dans son entraînement et voler au secours de quelques genins qui avaient voulu faire les malins en allant dans la forêt voisine. Tss ! Les ayant soignés, Sekiei avait fait venir leur sensei qui était revenu les chercher sans accorder la moindre attention à la jeune fille. Elle puait du bec, hein ?! Décidemment, les hommes étaient tous les mêmes ! Les cheveux en bataille -car elle avait dû repousser le danger aussi en même temps qu'elle soignet, ô poisse !- la rousse se présenta aux portes, l'air grognon, et sans accorder un regard aux gardes, elle pénétra dans la ville, avant de poser son derrière sur un petit banc en bordure de chemin. Là, elle poussa un long soupir, se laissant aller à tous ces souvenirs qui l'envahissaient. Mais un cri d'oiseau la fit sortir de sa rêverie, et elle regarda le ciel pensivement. N'ayant pas encore pénétré dans le souterrain, elle se trouvait face à un ciel bleu des plus lumineux, le soleil baignant le monde d'une douce chaleur.

Bâillant à s'en décrocher la mâchoire, Sekiei se rappela de son entraînement. Elle allait sûrement recevoir des commentaires de la part de Kabuto-san ou Orochimaru-sama suite à sa disparition soudaine... mais elle aurait une excuse, et de plus, ils ne la blâmeraient pas d'avoir sauvé trois de leurs éléments. Et aussi lui feraient-ils sûrement des remarques quant à sa fatigue. Son coeur n'était pas au mieux de sa forme et si elle ne voulait pas faire un infarctus, il lui faudrait être nettement plus prudente. Poisse... elle avait la poisse. Passant rapidement une main dans ses cheveux, Sekiei tourna son visage vers l'entrée, où les gardes semblaient l'observer avec attention. Ils devaient se demander ce qu'elle faisait là, à attendre. Eh bien... elle récupérait. Les soins qu'on lui apportaient n'étaient pas définitifs et elle se devait de faire un peu attention à son coeur. Le fait de subir l'entraînement plus cette course-poursuite avec ces gamins l'avait épuisée et elle sentait que son petit coeur lui hurlait de faire une pause. Foutue maladie... Et alors que Sekiei baissait la tête, en s'essuyant le front d'un revers de main, des bruits de pas se firent entendre, et la jeune fille ne reconnaissait que trop bien cette démarche lente et saccadée...

Les gardes du village se reposait tranquillement, personne rentrait a Oto depuis un petit moment, a croire que Orochimaru le chef du village les tuaient a la tâche. Il faisait beau a Oto no Sâto ce jour ci, le soleil était présent, les nuages c'était dissipé, un léger vent faisait son apparition afin de rafraichir la peau. Les gardes dormaient a moitié, lorsqu'ils entendirent du bruit, ils se réveillèrent en sursaut, de peur d'être attaqué. Un des gardes se lava, et regarda au loin ce qu'il se passait, il vit une silhouette, celle d'un fille. Le garde regarda mieux, et il vit la jeune fille qui avait été recueilli par Orochimaru : Sekiei. Elle passa devant devant les deux gardes qui c'étaient assis, puis un des gardes lui dit :

- Bonjour Sekiei ! Tu vas bien ? Sa fait un moment que l'ont ta pas vu ! Tu étais partis en mission ?

Orochimaru allait dans son village, il ne savait que faire. Il partait, sans savoir exactement ou il allait atterrir. Orochimaru marchait d'un pas lent, puis il arriva aux portes du village. Les deux gardes parlaient a une shinobi, Orochimaru la connaissait étant donné qu'il l'avait recueilli parmis les siens, mais il ne l'avait jamais vu suite a sa. Orochimaru s'avança, puis il lui dit :

- Bonjour Sekiei ! Le mission a laquel je t'es assigner n'étais pas trop pénible ? Très bientôt, les missions que j'assignerais aux shinobis de Oto seront certes périlleuse mais divertissante.

Orochimaru restait devant elle lui faisant un signe de la tête lui disant de le suivre.

# Comme l'univers est vaste. Comme une larme fondue dans l'océan. Plus jamais, je ne ris. Chante le vent d'automne et danse les feuilles mortes ; jalousie du temps passé, haine de l'avenir trompé par le présent. Tombe. Tombe. Enfouis sous le poids du vide. Comme une feuille posée délicatement sur le sol ferme.
Ca ne veut rien dire. Absolument. L'indifférence de X. L'amour d'Y. Voyelle et consonne, inutiles, serviables cependant. Haha... Chante la mort de la feuille, révolution du temps nouveau, voyelle, consonne, temps nouveau X et Y qui marquera l'air d'une ère nouvelle. #

Perdue dans ces étranges pensées, la jeune fille n'avait pas remarqué de suite que les gardes lui adressaient la parole, jusqu'au moment où l'un d'eux insista sur son prénom, forçant sur sa voix ; sortie de son état second contre son gré, la jeune kunoichi d'Oto se releva, s'avançant ensuite vers ses deux compagnons d'armes. Elle leur adressa un sourire quelque peu faible, dû à la fatigue qu'elle avait accumulée ces derniers temps, puis entama une légère discussion avec eux. Sekiei était plutôt appréciée par les gens d'Oto. Elle n'était pas méchante, sans coeur, violente et égoïste, bien au contraire... douce, gentille, serviable, polie mais très déterminée et bien ancrée dans ses idées. Elle était... spéciale. La discussion s'étala un peu, et enfin, Sekiei lâcha un petit rire suite à une blague dans le fond pas très amusante ; et le garde en fut visiblement ravi.
Seulement quelqu'un vint, et la jeune fille cessa de rire, se retournant vers le nouvel arrivant. Orochimaru. Elle ne savait quoi penser de lui, ne savait quand est-ce qu'il était sérieux ou bien taquin. Un homme qu'elle ne comprenait pas vraiment mais en qui elle avait fondé beaucoup d'espoirs, peut-être plus que lui en avait fondé en elle lorsqu'il l'avait acceptée dans ses rangs. Acquiesçant à son supérieur, la kunoichi aux cheveux de feu fit une petite courbette pour saluer les deux gardes, leur assurante qu'elle repasserait plus tard, puis trotina jusqu'à ce qu'elle se trouve à côté d'Orochimaru.

« Orochimaru-sama ! Bonjour. »

Un fin sourire vint illuminer le visage pâle de la jeune fille, qui inclina respectueusement la tête devant le Serpent.

« La mission en elle même n'était pas pénible ; je tâcherai cependant d'être plus prudente à l'avenir, concernant mon temps de repos... »

Portant la main à son coeur, elle baissa légèrement la tête. Elle ne faisait pas assez attention et cela pourrait lui être fatal. Perdre la vie à cause du surmenage n'était pas la bonne solution... et puis, dans le fond, elle craignait aussi de ce que l'on pouvait faire d'elle une fois qu'elle serait trop affaiblie par la fatigue.

« Vous projetez d'envoyer des espions dans les villages avoisinants, Orochimaru-sama ? »

Sekiei se doutait bien qu'Orochimaru était toujours emplis de haine et de rancune... à l'égard de Konoha, surtout. Elle se demandait aussi ce qu'il attendait spécialement de ses shinobi, car malgré le fait que cela fasse deux ans qu'elle l'accompagne, elle ne savait absolument rien de ses désirs.

Orochimaru lui faisant signe de le suivre l'écoutait, et la regardait. Visiblement elle avait toujours son problème au coeur, Orochimaru, malgré son mental désagréable et effrayant désirait soigner cette kunoichi. Pour lui, tout ses shinobis lui seront utile plus tard, c'est non par des sentiments qu'il veut la soigner, mais pour satisfaire ces désires. Dans le fond, Orochimaru pensait qu'a une seul personne, la sienne, les autres vies humaines non pas de prix par rapport a la sienne, il est celui qui est au dessus des autres, une personne meurt, ce n'est pas grave du moment que lui n'a rien, mais Orochimaru fait tout de même payer ses pertes a celui qui les a provoqué, une perte reste une perte, mais plusieurs baisse la puissance du pays et la sa devient plus grave. Plusieurs personnes ce demande ce qu'est Orochimaru, si on pouvait leur répondre le plus simplement possible on dirait : un monstre.
Orochimaru après avoir écouté ce qu'avait a dire la jeune fille il lui répondit :

- Oui j'enverrais des ninja espionner certains pays ... tu seras toi aussi assigné a cette tâche, mais tout d'abord va te reposer, je vois que ta maladie ne s'arrange pas. Il faudrait que quelqu'un comme Kabuto revienne a Oto le plus vite possible.

Orochimaru faisant semblant de faire l'intéresser d'un côté et non de l'autre allait espionner Konoha, Suna, et Kiri, il allait faire un pronostic de la guerre qui va suivre, mais il n'allait pas divulguer ces plans maintenant, ils devaient rester secret jusqu'a ce que la mission soit lancé, et elle sera lancé lorsque tout le monde sera prêt.

Oui, Sekiei avait toujours ses problèmes au coeur. Et elle pensait, au plus profond d'elle-même, que jamais elle ne pourrait complétement guérir. Ce 'nétait pas sans conséquences et malgré ses efforts, la maladie l'avait toujours remporté sur elle. C'était la raison pour laquelle Sekiei s'était justement lancé dans la médecine ; trouver des remèdes aux maladies dites incurables, sauver des vies, repérer les erreurs et donner une nouvelle chance. Nombreux étaient les shinobi qui lui avaient demandé la raison de sa présence à Oto, elle qui était si douce et si gentille avec les gens, généreuse et patiente... c'était tellement étrange. Peut-être que c'était pour la même raison qu'Orochimaru la gardait en son village. Tous les deux avaients peut-être quelque chose l'un pour l'autre... Sekiei aidait Orochimaru dans ses projets, et en échance, ce dernier lui donnait les soins qu'elle méritait et un enseignement. Rien que pour ça, Sekiei lui en était reconnaissante. Même si, dans le fond, elle n'embrassait pas ses projets avec amour... ni lui-même, d'ailleurs.
Il allait l'assigner à une mission d'espionnage, et autant le dire, ce genre de missions était plutôt aisées pour elle, tout le monde lui faisant rapidement confiance. Et puis, qui se douterait qu'une jeune fille aussi sensible et chaleureuse venait d'un village réclamant la guerre, dans lequel elle s'était rendue de son plein gré, qui plus est ?

La jeune fille joigna ses mains dans son dos, le sourire toujours collé à son visage, ayant pris une expression d'amusement. Même si Orochimaru n'était pas très appréciable, Sekiei possédait une facilité déconcertante à s'amuser de tout et de rien, et surtout, de ne jamais tirer une tête de six pieds de long. D'un ton alors enjoué, bien qu'elle soit sérieuse dans ses propos, elle lui lança :

« Ne vous en faites pas, l'espionnage n'est pas sensé être fatiguant du moment que je réussis bien mon travail. »

Une détermination à toute épreuve... si elle avait été aussi excitée qu'une puce, elle aurait très certainement rappelé Naruto à de nombreuses personnes. Sentant qu'elle avait besoin de repos le plus vite possible, Sekiei se râcla furtivement la gorge, avant de se mettre devant Orochimaru, marchant à reculon afin de ne pas non plus le stopper dans sa marche.

« Orocimaru-sama, si vous me le permettez, j'aimerai retourner dans mes quartiers afin de me reposer pour être disponible le plus tôt possible. »

...Et l'on disait souvent que Sekiei avait le don d'apaiser les coeurs, de les aider à soutenir leur fardeau et à débrider ceux qui étaient prisonniers de la glace. Pouvait-elle sauver quelques shinobi d'Oto de la noirceur de leur âme ?

Orochimaru regardait la jeune shinobi qui prônait ses capacités a l'espionnage. Orochimaru voyant cette créature apportant un rayon de soleil a qui la voyait lui donnait la nausée, lui au coeur noir, lui a l'âme du tueur, ne pouvait voir un ange face a lui, mais il le faisait quand même, voyant son problème au coeur, il en rigolait, il s'en moquait totalement, mais si il ne faisait rien de cette créature, cela ferait un ninja en moins pour Oto, et ce ne lui sera pas favorable dans la guerre avenir. Orochimaru devait rendre le coeur de cette ange, un coeur aussi noir que celui du diable, un ninja ayant de la pitié ne peut pas être un bon ninja, un ninja ne doit avoir de commisération, si il a de la pitié, ce ninja est voué a l'échec, il laissera tout le temps laisser partir son adversaire, et cela peut lui coûter la vie, et Orochimaru, voyait que Sekiei était dans ce cas, elle était si gentille, Orochimaru se demandait encore pourquoi l'avoir accepté a Oto, elle est trop bonne.
La jeune Kunoichi, après avoir fini de parler repris la parole pour dire a Orochimaru qu'elle aimerait aller se reposer, il l'a regarda en montrant dans ces yeux tout le mal qu'il a en lui, on pouvait y apercevoir des flammes consumant son âme peu a peu. Orochimaru allait faire changer Sekiei pour qu'elle devienne une kunoichi très puissante. Orochimaru disparut face a la jeune fille, puis il se mit a la regarder.

** Comment peut elle être comme ça ... apportant le sourire autour d'elle, montrant la beauté ... je devrais la faire changer ... et très vite ! Peut être j'ai une idée ... **

Orochimaru s'éloignait de plus en plus de la kunoichi que Orochimaru avait recueilli . Peu a peu le soleil qui avait disparu a la présence du Serpent réapparu a la disparition de ce dernier.

» Venue de Takeshi Urahara
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